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Le projet aborde, en plusieurs phases, le sujet de la colonisation de Mars et des utopies sociétales.
Une exposition, à la fin du processus, témoigne de la recherche menée pendant un an avec des artistes, scientifiques et citoyens.
La colonisation de Mars et l’occupation de l’espace,
Une redéfinition de nos valeurs éthiques et de notre structure sociale sont au cœur du débat.
2022 aurait dû être l’année à laquelle les premiers colons souhaitaient débarquer sur Mars pour y créer une nouvelle société. Même si cette date a dû être repoussée, de nombreux projets sont en cours. Dans cette ruée vers l’occupation ou l'exploitation de l’espace on retrouve les États-Unis, les Emirats Arabes, la Chine, la Russie, l’Inde et le Luxembourg.
Dans un environnement où tout est à construire, même l’environnement en soi, l’implantation humaine hors de la Terre semble aujourd’hui devenir possible grâce au progrès technologique. L'objectif de certaines missions en cours est de construire un deuxième habitat pour l’homme, d’amener celui-ci vers une espèce multi-planétaire, soulevant ainsi des questions éthiques, écologiques, sociales, économiques, législatives, -des questions d’identité individuelle et collective. Ces missions remettent en question les fondements du vivre ensemble, interrogent les enjeux de l’occupation spatiale et son impact sur notre civilisation.
L’ensemble de ces sujets est traité par l’équipe artistique en collaboration avec des scientifiques, des chercheurs et des citoyens.
Le projet Esch-Mars. De terres rouges en terres rouges aborde, en plusieurs phases, le sujet de la colonisation de Mars et des utopies sociétales.
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